Au moment-même où je me faisais hospitaliser pour soigner ma violente allergie à la pénicilline, ma meilleure amie se faisait agresser à la sortie d'une boîte de nuit d'Oxford.
Quelques jours plus tôt, tel un signe annonciateur du sort qui allait s'abattre sur nous toutes, la vie d'une autre amie d'enfance basculait : elle se retrouvait du jour au lendemain sans mec et sans boulot.
L'une est à Oxford, l'une est à Paris, l'une est à Lyon. La distance nous a séparées en septembre dernier, or d'une certaine manière les ennuis nous ont réunies à nouveau.
Quelle ironie. Le destin ne cessera jamais de me surprendre.
Heureusement que je suis un garçon (ca n'à l'air de marcher qu'avec les filles ta malchance la)