• Loïc écrit qu'il suffit parfois de peu de choses pour obtenir une pincée de bonheur. Tout le monde le sait, et pourtant nous ne cessons d'être surpris par notre capacité à se sentir heureux sans vraie raison.

    J'excelle moi-même dans cet art.

    Ce soir je me suis fait un bon dîner et j'en suis ravie, parce que je ne suis pas tombée dans la facilité du "j'ai la flemme de cuisinier juste pour moi".
    J'ai été cet après-midi dans un vidéo club qui m'a été chaudement recommandé (merci au fait), et le gérant était tellement sympa que je m'y suis sentie chez moi. En plus j'y ai trouvé des perles rares, j'ai passé une heure à triper sur la collection de films du type.
    Et dans la rubrique nana : j'ai trouvé une robe toute mignonne et vraiment pas chère, je m'en félicite encore. La vendeuse était sympathique, je me suis dit que si je possédais une boutique de fringues c'est sûrement elle que j'engagerais.

    Pour couronner le tout j'ai l'impression qu'aujourd'hui tout le monde m'a sourit.

    Dois-je m'inquiéter ?

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  • J'ai regardé Annie Hall hier soir et je me suis rappelée à quel point j'aime le style très personnel de Woody Allen. Rien que d'y penser, j'ai presque envie de pleurer.

    Je me souviens très bien de la première fois que j'ai vu l'un de ses films. C'était Meurtre mystérieux à Manhattan, au cinéma d'art et d'essai de Savigny le Temple en Seine et Marne. J'avais 13 ans et je découvrais l'ironie pour la première fois. Il y a une réplique incroyable dont je me souviendrai toujours, Woody Allen sort de l'opéra et dit à Diane Keaton : "Quand j'entends trop de Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne !".

    (Merde, je viens de comprendre d'où venait mes éternels sarcasmes)

    Quand je pense que Woody Allen n'est pas reconnu aux Etats-Unis !... Annie Hall est plus ou moins autobiographique. Et bizarrement, il m'a renvoyée à des choses que j'ai vécues.

    (En plus Woody Allen me rappelle étrangement un ex)


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  • J'aime décidément beaucoup ce que font les nouveaux graffeurs. Ils sont pour la plupart graphistes et mêlent leur culture urbaine aux techniques plus "virtuelles" de la retouche numérique.

    Ce soir, au Ninkasi de Gerland, était inaugurée l'expo des trois vainqueurs du concours de graff Original. Les trois styles se combinaient bien, il y a quelques tableaux qui m'ont beaucoup plu. Comment faire pour savoir s'il s'agit de malice informatique, de vrais coups de pinceaux photocopiés, de travail minutieux à l'aérosol ?...

    J'adooore ne pas savoir !

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  • J'ai une super idée de sortie pour ce dimanche : l'enquête des Quais du polar organisée à Lyon dans le cadre du festival du polar.

    Vous allez sur le site, vous téléchargez et imprimez les règles du jeu, vous vous munissez d'un stylo, d'une poignée d'amis aventuriers, et vous vous lancez dans la plus grande enquête de votre vie !

    Bon, blague à part, c'était très sympa de suivre les traces d'Amédée Lagrange dans le quartier de Perrache, afin de retrouver les indices permettant de résoudre les trois énigmes de l'enquête. A la fois amusant, pédagogique et touristique. J'ai découvert un quartier emblématique de Lyon d'une manière originale, j'ai même poussé jusqu'au No man's land du Confluent, futur quartier ultra-hype de la ville (cf. photos ci-dessus).

    On croisait de temps en temps des petits groupes d'amis, des personnes âgées parfois, tenant le même bout de papier que nous en quête des fameux indices.

    Cette petite aventure du week-end m'a donné envie de m'intéresser davantage aux jeux de rôle et chasses au trésor dans la ville. Ca pourrait être l'occasion de découvrir encore d'autres facettes de la ville tout en rencontrant du monde.

    Si vous connaissez des organisations de ce genre, n'hésitez pas à me prévenir.


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