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Nous nous sommes autorisés une jolie pause sur le ponton de la Diva, un
bar restaurant ultra chic de la Croisette. Samuel LeBihan à table à
côté de nous (super). Même si tout est très superficiel, la vue sur la
mer reste un vrai bonheur.
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Par chance, notre appartement était situé tout près de la Croisette. De
quoi nous permettre de nous plonger rapidement dans une ambiance
studieuse, nécessaire à la rédaction d'une critique par jour.
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Ambiance frénétique, rythme soutenu... Heureusement que le fast food n'était pas loin du Grand Palais.
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Et voici les champions, capables de trouver des invitations grâce à la
force de leur sourire et de leur carton. Ici, juste avant notre
dernière montée des marches tous ensemble.
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C'est la fin de mon trip. Bye bye tapis rouge, bye bye frénésie festivalière.
La palmarès, annoncé dans la soirée, a confirmé certaines des mes intuitions (Prix du jury pour Il Divo, prix d'interprétation pour Benicio del Toro), celles de la presse française (en tout cas en ce qui concerne les films Gomorra et les Trois singes) et complètement anéanti les pronostics généraux qui portaient aux nues certaines oeuvres marquantes : la Valse pour Bachir (une animation que je n'ai pas vue), Two lovers (de James Gray, vu ce matin à l'aube) et L'Echange de Clint Eastwood.
Voici quelques photos prises pendant mon séjour, histoire de vous donner un aperçu de l'ambiance.
Il est maintenant temps de reprendre une vie normale.
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